L'œuvre Secrète des Rois 

Un Évangile sur le Royaume

e-book *: 6,66 €

* Les e-Books peuvent être lus indifféremment sur les liseuses (Kindle, Kobo), et sur toutes les applications de lecture pour smartphones, tablettes et ordinateurs).

Livre broché : 19,99 €

Exclusivement sur Amazon
(Imprimé à la demande)

Cliquer ici, ou sur le bouton ci-dessous

La France, Terre Cryptée ?

« Deux messages inscrits subtilement sur la terre de France attendaient depuis sept cents ans qu’on les découvre. S’y entremêlent la géographie, l’histoire, l’architecture, la toponymie, la géométrie sacrée, les enseignements ésotériques, les symbolismes chrétien, celte et juif… »  

Qu’en est-il du premier de ces messages ?

La Croix des Rois

Le premier de ces messages passe par le biais de détails visibles dans des édifices religieux. Il a été pensé par d’éminents ecclésiastiques, et rendu possible par l’action des rois de France, de Louis VI à Louis IX, eux-mêmes influencés par leur proximité ou leur rivalité avec quelques grands noms d’une Europe éclairée. Catholiquement correct, ce message est basé sur les grandes étapes de la vie du Christ des évangiles ou l’histoire biblique des hébreux quittant l’Égypte sous la conduite de Moïse. Mais il transmet à qui sait les décoder les enseignements ésotériques de la tradition éternelle et de la Bible, ceux concernant les étapes du chemin initiatique, dont l’église de Rome ainsi que la plupart des rabbins ont perdu le véritable sens.

Le tome 1 relate les circonstances de la découverte de ce message  et en décrit les détails sur les différents sites. Les lignes virtuelles qui les relient dessinent une scène de crucifixion sur la France. Tout en parcourant l’histoire de la réalisation de ce message et celle de ses concepteurs, l’auteur en décrypte le sens initiatique plus profond, qui va bien au-delà de la symbolique purement religieuse.

Pour conclure, des questionnaires introspectifs sont offerts à la méditation de ceux qui voudraient parcourir intérieurement le chemin proposé par le message de cette « croix de pierre ».

En savoir plus sur ce tome

Faits Intrigants

  • Août 1239 : Saint Louis (Louis IX), apporte la relique dite de la couronne d’épines du Christ à Paris. En la portant sur ses épaules il imite la scène biblique du roi David amenant l’arche d’alliance à Jérusalem. Par ce geste, il entend faire de Paris la Nouvelle Jérusalem et se poser en homme fort de la chrétienté.
  • Quarante années plus tard, en 1279, Charles II d’Anjou, neveu de Louis IX, prétend avoir découvert la tombe et le corps de Marie-Madeleine à l’occasion de fouilles qu’il fait entreprendre sous l’église de Saint Maximin la Sainte Baume.
  • Étonnamment, le site est situé exactement à 666,6 kms de la basilique Saint-Denis, où plusieurs rois de France furent sacrés, et où la plupart furent inhumés, dont Saint Louis …  Il se trouve que l’enquête pour sa canonisation se déroule justement durant cette période, et que cette basilique est l’œuvre de Suger, abbé de Saint Denis, qui fut le principal conseiller des rois Louis VI et VII, et assura durant deux années la régence du royaume.
  • Non moins étonnamment, dans le village de Plan d’Aups-la-Sainte-Baume, en bas de la grotte où, selon la légende, aurait vécu Marie-Madeleine, deux lieux-dits nommés « La Magdala » et « Le Plan » se situent à 666,6 kms de l’île de la Cité à Paris : là où le même Louis IX a fait construire la Sainte Chapelle du palais pour y exposer les supposées reliques de la passion du Christ, dont celle de la couronne d’épines. Cerise sur le gâteau, en ces lieux-dits, l’altitude est de … 666 mètres !

    Si l’on ajoute que deux sites Béarnais dédiés à la vierge Marie – Lourdes et Bétharram – se situent également à 666,6 Kms de l’île de la Cité, on commence à trouver la coïncidence fort surprenante.

En poussant les investigations, on découvre que cette même distance sépare entre eux plusieurs sites formant un alignement parfait !

Pour se rassurer, on découvrira que le nombre 666 est lié aux mathématiques sumériennes et non pas au diable, ainsi que le pense aujourd’hui la croyance populaire («la bête» représentant en fait Babylone).

Le Troisième Chant du Coq ...

bas relief à sant Maximin la sainte Baume_le coq préserve le coffre aux secrets
Indice : le coq protège le secret, il en détient la clef.
la forme des remparts de la vieiile ville de Jérusalem rappelle celle de la France
Remparts de Jérusalem : un petit air de France !

Les visites sur les différents lieux, associées à la connaissance du symbolisme chrétien, permettent d’en dégager la signification.

Clef de voûte de la cathédrale de Troyes

On comprend alors que l’arrivée de la couronne d’épines en l’île de la Cité était le point d’orgue d’un projet bien plus vaste, envisagé sous Louis VI, rendu possible par les conquêtes de Philippe II Auguste, grand-père de Saint Louis, et finalisé grâce au travail des bâtisseurs de cathédrales et à la science de leurs mentors.

les lignes de la croix que les rois ont tracée sur la Francee

666 : c'est l'ignorance qui est diabolique !

Le 666 est la clef chiffrée de ce message crypté, et le sera aussi pour le second message, celui réalisé par les Templiers.

Il est courant de considérer ce « chiffre de la bête » comme symbolisant des forces sombres, diaboliques, sataniques …

Cette interprétation est liée à l’ignorance de la formulation complète dans le texte de l’Apocalypse de saint Jean (Apo. 13 : 18), et à l’interprétation tronquée et inversée qui en découle. Le verset précise : « ici commence la sagesse », et il appelle « celui qui a de l’intelligence à calculer le nombre de la bête » !  

C’est en fait parce que ce nombre offre de nombreuses spécificités mathématiques  surprenantes, dont les savants de Babylone avaient déjà exploré quelques contours. Ils utilisaient notamment un système de calcul sexagésimal, dans lequel 6 , 60, et 600 étaient les composantes majeures … (6+60+600 = 666). Pour le rédacteur de l’Apocalypse, qui était juif avant que l’église de Rome n’en fasse saint Jean, Babylone représentait l’ennemi héréditaire, la dépravation … et donc  « la bête » .

Ce nombre était aussi une clef de conversion entre ce système et le système décimal, ou encore le diviseur séparant « les élus » de « la multitude » … Là encore il s’agit d’arithmétique et de géométrie, utilisées à des fins de symbolisme religieux ! 

On peut trouver une vingtaine de caractéristiques étonnantes du 666, dont beaucoup le relient symboliquement à la notion de création, de totalité, de réunion des différences… Ceci en fait un nombre éminemment positif. Le fait que ce nombre soit devenu celui « du diable » dans l’imaginaire populaire constitue un indicateur assez frappant de l’inversion des valeurs que notre époque a opérée.

Il serait largement temps, comme saint Jean nous y invitait déjà, de retrouver des voies vers la sagesse et l’intelligence! Les deux messages inscrits sur la France nous proposent chacun leur vision de ce cheminement.

Vers les Autres Tomes

T.2 : L'Arbre de Vie des Templiers

T.3 : Per Francos Code

bas relief à sant Maximin la sainte Baume_le coq préserve le coffre aux secrets
Partager